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Dnrancy.
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291
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L'an 1771, le mercredi 7 août, fept heures ct demie du foir, eft comparu en l'hôtel de nous Nicolas Maillot, etc., Mathieu Dupuis, fauteur chez le fleur Nicolet l'aîné, maître de fpcctacle fur le boulevard du Temple, demeurant rue St-Antoine dans une petite chambre au premier étage du fécond corps de logis d'une maifon occupée par bas par un marchand quincaillier, vis-à-vis la vieille rue du Temple : Lequel nous a déclaré et dit qu'en rentrant dans fadite chambre la nuit dernière, environ les une heure du matin, il s'eft aperçu qu'on lui avoit pris et volé dans cette chambre fon habit vefte et culotte de baracant couleur de chair, garnis de ganfes et treffes d'argent ct de boutons de métal en façon d'argent unis à une petite chaînette autour, la vefte fans manches, et un chapeau demi-caftor repaffé et retapé, à la fuiffe, garni de ganfes d'argent avec deux glands auffi d'argent pendant à chaquc corne de derrière. Que pour faire ce vol on s'eft introduit dans cette chambre par la fenêtre donnant près un plomb en levant le châffis de cette fenêtre qui étoit feulement abattu fans étre retenu à aucune chofe en dedans; qu'il ne fait qui a fait ce vol.
Signé : Maillot; Dupuis (i).
(archives der Comm., n- 3778.)
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D
URANCY (Bernard) , acteur des boulevards, fit partie d'abord de la troupe des Élèves de l'Opéra, puis entra au théâtre des Grands-Danseurs du Roi, où il a joué avec succès Léandre dans la Come de vérité, le 22 avril 1782.
(Journal de Paris, 22 avril 1782.)
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I
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Samedi 3 juin 1780, 10 heures du foir.
Bernard Duranci, acteur des Élèves de l'Opéra, arrêté par Rigault, fergent, à la réquifition du lieur Parifau, directeur, pour avoir refufé de jouer. Pourquoi nous l'avons envoyé au For-1'Évêque (2).
{Archives des Comm., n° 5022.)
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(0 M. Charles Ribou a publié un roman interessant dont Dupuis est le héros ; il est intitulé : Ies Grands-Danseurs du Roi.
(2) Voici quelle était la composition du spectacle, au théatre des Élèves de VOpéra, le 3 juin 1780 : U 2*- représentation de YAnti-Pygmaiion, ou l'Amour Prométhée, scène lyrique par Poultier-Dclmottc, musique de Rochefort, précédée du Parasite, de Ja Femme corrigée, ct suivie dc Ni trop, ni trop feu.
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